Recouvrement de créances

Mise en demeure employeur : droits du salarié & démarche

Mise en demeure employeur : droits du salarié & démarche

Mise en demeure employeur : droits du salarié & démarche

Dans une relation de travail, l’employeur est tenu à des obligations strictes envers le salarié : paiement du salaire, remise des documents de fin de contrat, remboursement des frais professionnels, ou encore garantie de sécurité au travail. Lorsqu’il manque à ces devoirs, le salarié peut l’y contraindre en envoyant une mise en demeure. La mise en demeure à l’employeur est un acte juridique fort. Elle permet de formaliser une réclamation, de fixer un délai précis d’exécution et de préparer une éventuelle action prud’homale. Dans cet article, nous vous expliquons comment l’utiliser efficacement : quels motifs sont légitimes, comment rédiger la lettre, quels délais respecter, et quelles suites donner si l’employeur ne réagit pas.

Dans une relation de travail, l’employeur est tenu à des obligations strictes envers le salarié : paiement du salaire, remise des documents de fin de contrat, remboursement des frais professionnels, ou encore garantie de sécurité au travail. Lorsqu’il manque à ces devoirs, le salarié peut l’y contraindre en envoyant une mise en demeure. La mise en demeure à l’employeur est un acte juridique fort. Elle permet de formaliser une réclamation, de fixer un délai précis d’exécution et de préparer une éventuelle action prud’homale. Dans cet article, nous vous expliquons comment l’utiliser efficacement : quels motifs sont légitimes, comment rédiger la lettre, quels délais respecter, et quelles suites donner si l’employeur ne réagit pas.

Sommaire de l'article

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3 nov. 2025

Fondement légal de la mise en demeure dans le contrat de travail

La mise en demeure est un outil juridique reconnu, qui peut s’appliquer pleinement dans le cadre de la relation entre salarié et employeur. Elle repose sur des principes généraux du droit civil, mais également sur des règles spécifiques au droit du travail.


Une mise en demeure, c’est quoi juridiquement ?


Selon l’article 1344 du Code civil, la mise en demeure est l’acte par lequel un créancier (ici le salarié) demande officiellement à son débiteur (l’employeur) de s’exécuter dans un délai raisonnable.

Cela signifie que :


  • Elle crée une date officielle à partir de laquelle les intérêts de retard ou pénalités peuvent courir.

  • Elle permet d’engager une procédure judiciaire, si l’employeur ne réagit pas.

  • Elle interrompt parfois les délais de prescription, notamment pour les demandes de paiement.


En droit du travail : un préalable souvent indispensable


Avant de saisir le Conseil de prud’hommes, le salarié a tout intérêt à avoir formellement mis en demeure son employeur. Ce n’est pas toujours obligatoire, mais cela renforce considérablement le dossier, notamment si :


  • L’employeur n’a pas payé tout ou partie du salaire.

  • Il refuse ou tarde à remettre les documents de fin de contrat (certificat de travail, attestation Pôle emploi…).

  • Il ne rembourse pas des frais professionnels.

  • Il ne respecte pas ses obligations légales ou conventionnelles.

💡 En cas de litige, le juge regardera si le salarié a tenté de régler la situation à l’amiable, et la mise en demeure constitue cette preuve de bonne foi.

La mise en demeure est un outil juridique reconnu, qui peut s’appliquer pleinement dans le cadre de la relation entre salarié et employeur. Elle repose sur des principes généraux du droit civil, mais également sur des règles spécifiques au droit du travail.


Une mise en demeure, c’est quoi juridiquement ?


Selon l’article 1344 du Code civil, la mise en demeure est l’acte par lequel un créancier (ici le salarié) demande officiellement à son débiteur (l’employeur) de s’exécuter dans un délai raisonnable.

Cela signifie que :


  • Elle crée une date officielle à partir de laquelle les intérêts de retard ou pénalités peuvent courir.

  • Elle permet d’engager une procédure judiciaire, si l’employeur ne réagit pas.

  • Elle interrompt parfois les délais de prescription, notamment pour les demandes de paiement.


En droit du travail : un préalable souvent indispensable


Avant de saisir le Conseil de prud’hommes, le salarié a tout intérêt à avoir formellement mis en demeure son employeur. Ce n’est pas toujours obligatoire, mais cela renforce considérablement le dossier, notamment si :


  • L’employeur n’a pas payé tout ou partie du salaire.

  • Il refuse ou tarde à remettre les documents de fin de contrat (certificat de travail, attestation Pôle emploi…).

  • Il ne rembourse pas des frais professionnels.

  • Il ne respecte pas ses obligations légales ou conventionnelles.

💡 En cas de litige, le juge regardera si le salarié a tenté de régler la situation à l’amiable, et la mise en demeure constitue cette preuve de bonne foi.

La mise en demeure est un outil juridique reconnu, qui peut s’appliquer pleinement dans le cadre de la relation entre salarié et employeur. Elle repose sur des principes généraux du droit civil, mais également sur des règles spécifiques au droit du travail.


Une mise en demeure, c’est quoi juridiquement ?


Selon l’article 1344 du Code civil, la mise en demeure est l’acte par lequel un créancier (ici le salarié) demande officiellement à son débiteur (l’employeur) de s’exécuter dans un délai raisonnable.

Cela signifie que :


  • Elle crée une date officielle à partir de laquelle les intérêts de retard ou pénalités peuvent courir.

  • Elle permet d’engager une procédure judiciaire, si l’employeur ne réagit pas.

  • Elle interrompt parfois les délais de prescription, notamment pour les demandes de paiement.


En droit du travail : un préalable souvent indispensable


Avant de saisir le Conseil de prud’hommes, le salarié a tout intérêt à avoir formellement mis en demeure son employeur. Ce n’est pas toujours obligatoire, mais cela renforce considérablement le dossier, notamment si :


  • L’employeur n’a pas payé tout ou partie du salaire.

  • Il refuse ou tarde à remettre les documents de fin de contrat (certificat de travail, attestation Pôle emploi…).

  • Il ne rembourse pas des frais professionnels.

  • Il ne respecte pas ses obligations légales ou conventionnelles.

💡 En cas de litige, le juge regardera si le salarié a tenté de régler la situation à l’amiable, et la mise en demeure constitue cette preuve de bonne foi.

Motifs possibles d’une mise en demeure à l’employeur

Dans le cadre d’un contrat de travail, plusieurs manquements de l’employeur peuvent justifier l’envoi d’une mise en demeure. Voici les situations les plus fréquentes, et leurs fondements légaux.


1. Non-paiement du salaire


C’est le motif le plus courant. Le salarié peut mettre en demeure son employeur lorsqu’il :


  • Ne reçoit pas son salaire à la date prévue

  • Reçoit un montant partiel ou incorrect

  • Ne perçoit pas certaines primes ou heures supplémentaires dues

🧾 Fondement : article L3242-1 du Code du travail (salaire payable une fois par mois maximum).


2. Absence de remise des documents de fin de contrat


Lorsqu’un contrat de travail prend fin (démission, licenciement, rupture conventionnelle…), l’employeur a l’obligation de remettre immédiatement :


  • Le certificat de travail

  • L’attestation Pôle emploi

  • Le solde de tout compte

Sans ces documents, le salarié ne peut faire valoir ses droits au chômage ou contester des montants perçus.

📌 Un retard ou un refus peut justifier une mise en demeure, suivie d’une action en référé.


3. Retard ou refus de remboursement de frais professionnels


Le salarié engage parfois des frais pour le compte de l’entreprise (déplacements, achats, hébergements…). Si l’employeur refuse de les rembourser, cela constitue un manquement à ses obligations contractuelles.

📎 Pensez à conserver tous les justificatifs (factures, mails de validation, notes de frais).


4. Autres manquements contractuels ou légaux


Une mise en demeure peut aussi viser :


  • Des conditions de travail non respectées

  • L’absence de matériel de sécurité ou d’équipements

  • Des faits de discrimination, harcèlement moral ou sexuel

  • Le non-respect d’une convention collective

💬 Dans ces cas, la mise en demeure permet de poser un cadre et de formaliser une alerte avant d’engager une action judiciaire.

Dans le cadre d’un contrat de travail, plusieurs manquements de l’employeur peuvent justifier l’envoi d’une mise en demeure. Voici les situations les plus fréquentes, et leurs fondements légaux.


1. Non-paiement du salaire


C’est le motif le plus courant. Le salarié peut mettre en demeure son employeur lorsqu’il :


  • Ne reçoit pas son salaire à la date prévue

  • Reçoit un montant partiel ou incorrect

  • Ne perçoit pas certaines primes ou heures supplémentaires dues

🧾 Fondement : article L3242-1 du Code du travail (salaire payable une fois par mois maximum).


2. Absence de remise des documents de fin de contrat


Lorsqu’un contrat de travail prend fin (démission, licenciement, rupture conventionnelle…), l’employeur a l’obligation de remettre immédiatement :


  • Le certificat de travail

  • L’attestation Pôle emploi

  • Le solde de tout compte

Sans ces documents, le salarié ne peut faire valoir ses droits au chômage ou contester des montants perçus.

📌 Un retard ou un refus peut justifier une mise en demeure, suivie d’une action en référé.


3. Retard ou refus de remboursement de frais professionnels


Le salarié engage parfois des frais pour le compte de l’entreprise (déplacements, achats, hébergements…). Si l’employeur refuse de les rembourser, cela constitue un manquement à ses obligations contractuelles.

📎 Pensez à conserver tous les justificatifs (factures, mails de validation, notes de frais).


4. Autres manquements contractuels ou légaux


Une mise en demeure peut aussi viser :


  • Des conditions de travail non respectées

  • L’absence de matériel de sécurité ou d’équipements

  • Des faits de discrimination, harcèlement moral ou sexuel

  • Le non-respect d’une convention collective

💬 Dans ces cas, la mise en demeure permet de poser un cadre et de formaliser une alerte avant d’engager une action judiciaire.

Dans le cadre d’un contrat de travail, plusieurs manquements de l’employeur peuvent justifier l’envoi d’une mise en demeure. Voici les situations les plus fréquentes, et leurs fondements légaux.


1. Non-paiement du salaire


C’est le motif le plus courant. Le salarié peut mettre en demeure son employeur lorsqu’il :


  • Ne reçoit pas son salaire à la date prévue

  • Reçoit un montant partiel ou incorrect

  • Ne perçoit pas certaines primes ou heures supplémentaires dues

🧾 Fondement : article L3242-1 du Code du travail (salaire payable une fois par mois maximum).


2. Absence de remise des documents de fin de contrat


Lorsqu’un contrat de travail prend fin (démission, licenciement, rupture conventionnelle…), l’employeur a l’obligation de remettre immédiatement :


  • Le certificat de travail

  • L’attestation Pôle emploi

  • Le solde de tout compte

Sans ces documents, le salarié ne peut faire valoir ses droits au chômage ou contester des montants perçus.

📌 Un retard ou un refus peut justifier une mise en demeure, suivie d’une action en référé.


3. Retard ou refus de remboursement de frais professionnels


Le salarié engage parfois des frais pour le compte de l’entreprise (déplacements, achats, hébergements…). Si l’employeur refuse de les rembourser, cela constitue un manquement à ses obligations contractuelles.

📎 Pensez à conserver tous les justificatifs (factures, mails de validation, notes de frais).


4. Autres manquements contractuels ou légaux


Une mise en demeure peut aussi viser :


  • Des conditions de travail non respectées

  • L’absence de matériel de sécurité ou d’équipements

  • Des faits de discrimination, harcèlement moral ou sexuel

  • Le non-respect d’une convention collective

💬 Dans ces cas, la mise en demeure permet de poser un cadre et de formaliser une alerte avant d’engager une action judiciaire.

Les mentions obligatoires et le formalisme de la lettre

La mise en demeure n’est pas un simple courrier de mécontentement. C’est un acte juridique qui doit être rédigé avec précision et rigueur, sous peine de n’avoir aucun effet.


Ce que la lettre doit contenir impérativement


Pour être valable, votre mise en demeure doit inclure :


  • Vos coordonnées complètes (nom, prénom, adresse)

  • Les coordonnées de votre employeur

  • L’objet de la lettre : "Mise en demeure pour [salaire impayé / documents manquants / frais non remboursés…]"

  • L’exposé clair des faits : dates, manquement constaté, obligations violées

  • Une référence aux textes légaux ou à votre contrat (ex : article du Code du travail, convention collective)

  • Un délai raisonnable pour exécuter (souvent 8 à 15 jours)

  • La mention des suites possibles : action judiciaire, saisine des Prud’hommes…

  • La date, votre signature, et la liste des pièces jointes si besoin

💡 Plus la lettre est précise, plus elle est dissuasive pour l’employeur… et solide devant un juge.


Le bon canal d’envoi : recommandé avec accusé de réception


Votre mise en demeure doit être envoyée par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR). Ce mode d’envoi est le seul à prouver :


  • Que la lettre a bien été envoyée

  • À quelle date l’employeur l’a reçue

  • Le contenu exact de ce qui a été transmis

👉 Gardez une copie signée de la lettre et de l’accusé de réception pour vos archives.

La mise en demeure n’est pas un simple courrier de mécontentement. C’est un acte juridique qui doit être rédigé avec précision et rigueur, sous peine de n’avoir aucun effet.


Ce que la lettre doit contenir impérativement


Pour être valable, votre mise en demeure doit inclure :


  • Vos coordonnées complètes (nom, prénom, adresse)

  • Les coordonnées de votre employeur

  • L’objet de la lettre : "Mise en demeure pour [salaire impayé / documents manquants / frais non remboursés…]"

  • L’exposé clair des faits : dates, manquement constaté, obligations violées

  • Une référence aux textes légaux ou à votre contrat (ex : article du Code du travail, convention collective)

  • Un délai raisonnable pour exécuter (souvent 8 à 15 jours)

  • La mention des suites possibles : action judiciaire, saisine des Prud’hommes…

  • La date, votre signature, et la liste des pièces jointes si besoin

💡 Plus la lettre est précise, plus elle est dissuasive pour l’employeur… et solide devant un juge.


Le bon canal d’envoi : recommandé avec accusé de réception


Votre mise en demeure doit être envoyée par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR). Ce mode d’envoi est le seul à prouver :


  • Que la lettre a bien été envoyée

  • À quelle date l’employeur l’a reçue

  • Le contenu exact de ce qui a été transmis

👉 Gardez une copie signée de la lettre et de l’accusé de réception pour vos archives.

La mise en demeure n’est pas un simple courrier de mécontentement. C’est un acte juridique qui doit être rédigé avec précision et rigueur, sous peine de n’avoir aucun effet.


Ce que la lettre doit contenir impérativement


Pour être valable, votre mise en demeure doit inclure :


  • Vos coordonnées complètes (nom, prénom, adresse)

  • Les coordonnées de votre employeur

  • L’objet de la lettre : "Mise en demeure pour [salaire impayé / documents manquants / frais non remboursés…]"

  • L’exposé clair des faits : dates, manquement constaté, obligations violées

  • Une référence aux textes légaux ou à votre contrat (ex : article du Code du travail, convention collective)

  • Un délai raisonnable pour exécuter (souvent 8 à 15 jours)

  • La mention des suites possibles : action judiciaire, saisine des Prud’hommes…

  • La date, votre signature, et la liste des pièces jointes si besoin

💡 Plus la lettre est précise, plus elle est dissuasive pour l’employeur… et solide devant un juge.


Le bon canal d’envoi : recommandé avec accusé de réception


Votre mise en demeure doit être envoyée par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR). Ce mode d’envoi est le seul à prouver :


  • Que la lettre a bien été envoyée

  • À quelle date l’employeur l’a reçue

  • Le contenu exact de ce qui a été transmis

👉 Gardez une copie signée de la lettre et de l’accusé de réception pour vos archives.

Délais, effets et conséquences possibles

Envoyer une mise en demeure, c’est déclencher un compte à rebours. Dès sa réception par l’employeur, elle produit des effets concrets, à condition de respecter certains délais et formes.


Quand envoyer la mise en demeure ?


Il n’existe pas de délai unique, mais quelques repères utiles :


  • En cas de salaire non versé, vous pouvez envoyer la mise en demeure dès le jour suivant la date habituelle de versement.

  • Pour les documents de fin de contrat, la mise en demeure peut être adressée immédiatement après le dernier jour travaillé, si les pièces ne vous ont pas été remises.

  • En cas de frais non remboursés, attendez un délai raisonnable (8 à 15 jours après dépôt des justificatifs).

⚠️ Ne tardez jamais trop : certains droits se prescrivent rapidement (souvent 3 ans pour les créances salariales).


Effets juridiques de la mise en demeure


Une fois envoyée, la mise en demeure permet :


  • De faire courir les intérêts de retard sur les sommes dues

  • De constituer une preuve solide de vos relances

  • D’interrompre certains délais de prescription

  • D’ouvrir la voie à une action prud’homale, si l’employeur ne réagit pas

💬 Elle montre aussi au juge que vous avez tenté une résolution amiable avant d’agir en justice.


Si l’employeur ne répond pas…


En cas d’absence de réponse ou de régularisation dans le délai imparti, vous pouvez :


  • Engager une action devant le Conseil de prud’hommes

  • Demander des dommages et intérêts

  • Réclamer une exécution forcée, par voie judiciaire

📌 Une mise en demeure bien formulée est souvent suffisante pour débloquer la situation sans aller jusqu’au contentieux.

Envoyer une mise en demeure, c’est déclencher un compte à rebours. Dès sa réception par l’employeur, elle produit des effets concrets, à condition de respecter certains délais et formes.


Quand envoyer la mise en demeure ?


Il n’existe pas de délai unique, mais quelques repères utiles :


  • En cas de salaire non versé, vous pouvez envoyer la mise en demeure dès le jour suivant la date habituelle de versement.

  • Pour les documents de fin de contrat, la mise en demeure peut être adressée immédiatement après le dernier jour travaillé, si les pièces ne vous ont pas été remises.

  • En cas de frais non remboursés, attendez un délai raisonnable (8 à 15 jours après dépôt des justificatifs).

⚠️ Ne tardez jamais trop : certains droits se prescrivent rapidement (souvent 3 ans pour les créances salariales).


Effets juridiques de la mise en demeure


Une fois envoyée, la mise en demeure permet :


  • De faire courir les intérêts de retard sur les sommes dues

  • De constituer une preuve solide de vos relances

  • D’interrompre certains délais de prescription

  • D’ouvrir la voie à une action prud’homale, si l’employeur ne réagit pas

💬 Elle montre aussi au juge que vous avez tenté une résolution amiable avant d’agir en justice.


Si l’employeur ne répond pas…


En cas d’absence de réponse ou de régularisation dans le délai imparti, vous pouvez :


  • Engager une action devant le Conseil de prud’hommes

  • Demander des dommages et intérêts

  • Réclamer une exécution forcée, par voie judiciaire

📌 Une mise en demeure bien formulée est souvent suffisante pour débloquer la situation sans aller jusqu’au contentieux.

Envoyer une mise en demeure, c’est déclencher un compte à rebours. Dès sa réception par l’employeur, elle produit des effets concrets, à condition de respecter certains délais et formes.


Quand envoyer la mise en demeure ?


Il n’existe pas de délai unique, mais quelques repères utiles :


  • En cas de salaire non versé, vous pouvez envoyer la mise en demeure dès le jour suivant la date habituelle de versement.

  • Pour les documents de fin de contrat, la mise en demeure peut être adressée immédiatement après le dernier jour travaillé, si les pièces ne vous ont pas été remises.

  • En cas de frais non remboursés, attendez un délai raisonnable (8 à 15 jours après dépôt des justificatifs).

⚠️ Ne tardez jamais trop : certains droits se prescrivent rapidement (souvent 3 ans pour les créances salariales).


Effets juridiques de la mise en demeure


Une fois envoyée, la mise en demeure permet :


  • De faire courir les intérêts de retard sur les sommes dues

  • De constituer une preuve solide de vos relances

  • D’interrompre certains délais de prescription

  • D’ouvrir la voie à une action prud’homale, si l’employeur ne réagit pas

💬 Elle montre aussi au juge que vous avez tenté une résolution amiable avant d’agir en justice.


Si l’employeur ne répond pas…


En cas d’absence de réponse ou de régularisation dans le délai imparti, vous pouvez :


  • Engager une action devant le Conseil de prud’hommes

  • Demander des dommages et intérêts

  • Réclamer une exécution forcée, par voie judiciaire

📌 Une mise en demeure bien formulée est souvent suffisante pour débloquer la situation sans aller jusqu’au contentieux.

Que faire après la mise en demeure ?

Votre mise en demeure est restée sans réponse ou sans effet après l’expiration du délai fixé ? Plusieurs options s’offrent à vous selon la gravité du manquement et votre situation professionnelle.


1. Relancer ou chercher une résolution amiable


Parfois, une simple relance téléphonique ou par écrit peut suffire, surtout si l’employeur n’a pas ignoré votre courrier par mauvaise foi, mais par négligence ou retard administratif.

Vous pouvez également proposer :


  • Un rendez-vous avec les RH ou la direction

  • Une médiation par l’inspection du travail

  • Un accord écrit sur un échéancier ou la régularisation des documents

💡 Garder une trace écrite de ces échanges peut vous servir en cas de procédure ultérieure.


2. Saisir le Conseil de prud’hommes


Si l’employeur ne réagit toujours pas, vous pouvez saisir les Prud’hommes pour faire valoir vos droits. Cette saisine permet de :


  • Demander le paiement des sommes dues

  • Obtenir la remise des documents de fin de contrat

  • Réclamer des dommages et intérêts pour préjudice subi

📎 Vous devrez produire votre contrat, la mise en demeure, l’accusé de réception et tous les justificatifs nécessaires.


3. Envisager une rupture du contrat aux torts de l’employeur


Dans certains cas graves (non-paiement récurrent, harcèlement, manquements graves), vous pouvez demander :


  • Une résiliation judiciaire du contrat

  • Ou prendre acte de la rupture du contrat, qui sera requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse si le juge vous donne raison

⚠️ Ce type de démarche est très engageant : il est essentiel d’être accompagné par un avocat pour évaluer les risques.

Votre mise en demeure est restée sans réponse ou sans effet après l’expiration du délai fixé ? Plusieurs options s’offrent à vous selon la gravité du manquement et votre situation professionnelle.


1. Relancer ou chercher une résolution amiable


Parfois, une simple relance téléphonique ou par écrit peut suffire, surtout si l’employeur n’a pas ignoré votre courrier par mauvaise foi, mais par négligence ou retard administratif.

Vous pouvez également proposer :


  • Un rendez-vous avec les RH ou la direction

  • Une médiation par l’inspection du travail

  • Un accord écrit sur un échéancier ou la régularisation des documents

💡 Garder une trace écrite de ces échanges peut vous servir en cas de procédure ultérieure.


2. Saisir le Conseil de prud’hommes


Si l’employeur ne réagit toujours pas, vous pouvez saisir les Prud’hommes pour faire valoir vos droits. Cette saisine permet de :


  • Demander le paiement des sommes dues

  • Obtenir la remise des documents de fin de contrat

  • Réclamer des dommages et intérêts pour préjudice subi

📎 Vous devrez produire votre contrat, la mise en demeure, l’accusé de réception et tous les justificatifs nécessaires.


3. Envisager une rupture du contrat aux torts de l’employeur


Dans certains cas graves (non-paiement récurrent, harcèlement, manquements graves), vous pouvez demander :


  • Une résiliation judiciaire du contrat

  • Ou prendre acte de la rupture du contrat, qui sera requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse si le juge vous donne raison

⚠️ Ce type de démarche est très engageant : il est essentiel d’être accompagné par un avocat pour évaluer les risques.

Votre mise en demeure est restée sans réponse ou sans effet après l’expiration du délai fixé ? Plusieurs options s’offrent à vous selon la gravité du manquement et votre situation professionnelle.


1. Relancer ou chercher une résolution amiable


Parfois, une simple relance téléphonique ou par écrit peut suffire, surtout si l’employeur n’a pas ignoré votre courrier par mauvaise foi, mais par négligence ou retard administratif.

Vous pouvez également proposer :


  • Un rendez-vous avec les RH ou la direction

  • Une médiation par l’inspection du travail

  • Un accord écrit sur un échéancier ou la régularisation des documents

💡 Garder une trace écrite de ces échanges peut vous servir en cas de procédure ultérieure.


2. Saisir le Conseil de prud’hommes


Si l’employeur ne réagit toujours pas, vous pouvez saisir les Prud’hommes pour faire valoir vos droits. Cette saisine permet de :


  • Demander le paiement des sommes dues

  • Obtenir la remise des documents de fin de contrat

  • Réclamer des dommages et intérêts pour préjudice subi

📎 Vous devrez produire votre contrat, la mise en demeure, l’accusé de réception et tous les justificatifs nécessaires.


3. Envisager une rupture du contrat aux torts de l’employeur


Dans certains cas graves (non-paiement récurrent, harcèlement, manquements graves), vous pouvez demander :


  • Une résiliation judiciaire du contrat

  • Ou prendre acte de la rupture du contrat, qui sera requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse si le juge vous donne raison

⚠️ Ce type de démarche est très engageant : il est essentiel d’être accompagné par un avocat pour évaluer les risques.

Modèle de lettre de mise en demeure à l’employeur

À envoyer par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR)

📌 À adapter selon votre situation spécifique (salaire, documents, frais, etc.)

[Vos prénom et nom]
[Adresse complète]
[Numéro de téléphone]
[Email]

À l’attention de
[Nom de l’employeur / entreprise]
[Adresse du siège social]

Objet : Mise en demeure de [paiement / remise de documents / remboursement de frais]

Madame, Monsieur,

Je me permets de vous adresser la présente afin de vous mettre en demeure de respecter vos obligations contractuelles et légales à mon égard, dans le cadre de mon contrat de travail en date du [date de début du contrat], exercé en qualité de [poste occupé].

En effet, à ce jour :
– [exposer les faits : salaire non versé, documents non remis, frais non remboursés…]
– [préciser les dates et montants éventuels]

Ces manquements contreviennent à vos obligations issues du Code du travail, notamment [préciser les articles applicables si connus], ainsi qu’à notre relation contractuelle.

Par la présente, je vous mets formellement en demeure de régulariser la situation dans un délai de [8 à 15 jours] à compter de la réception du présent courrier, faute de quoi je me verrai contraint(e) d’engager les démarches nécessaires devant le Conseil de prud’hommes, ainsi que toute autre action utile à la défense de mes droits.

Dans cette attente, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l’expression de mes salutations distinguées.

[Signature]

Pièces jointes : copie du contrat, fiches de paie, relances éventuelles, justificatifs…

À envoyer par lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR)

📌 À adapter selon votre situation spécifique (salaire, documents, frais, etc.)

[Vos prénom et nom]
[Adresse complète]
[Numéro de téléphone]
[Email]

À l’attention de
[Nom de l’employeur / entreprise]
[Adresse du siège social]

Objet : Mise en demeure de [paiement / remise de documents / remboursement de frais]

Madame, Monsieur,

Je me permets de vous adresser la présente afin de vous mettre en demeure de respecter vos obligations contractuelles et légales à mon égard, dans le cadre de mon contrat de travail en date du [date de début du contrat], exercé en qualité de [poste occupé].

En effet, à ce jour :
– [exposer les faits : salaire non versé, documents non remis, frais non remboursés…]
– [préciser les dates et montants éventuels]

Ces manquements contreviennent à vos obligations issues du Code du travail, notamment [préciser les articles applicables si connus], ainsi qu’à notre relation contractuelle.

Par la présente, je vous mets formellement en demeure de régulariser la situation dans un délai de [8 à 15 jours] à compter de la réception du présent courrier, faute de quoi je me verrai contraint(e) d’engager les démarches nécessaires devant le Conseil de prud’hommes, ainsi que toute autre action utile à la défense de mes droits.

Dans cette attente, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, en l’expression de mes salutations distinguées.

[Signature]

Pièces jointes : copie du contrat, fiches de paie, relances éventuelles, justificatifs…

Précautions & conseils pratiques

Une mise en demeure bien rédigée peut suffire à débloquer une situation. Mais mal formulée ou mal documentée, elle peut être ignorée… ou se retourner contre vous. Voici les points de vigilance essentiels.


1. Rassemblez toutes les preuves avant d’agir


Avant d’envoyer votre courrier, assurez-vous de disposer de :


  • Votre contrat de travail ou avenants

  • Vos bulletins de paie ou états de paiement

  • Vos notes de frais, justificatifs de déplacements ou mails de validation

  • Vos échanges écrits avec l’employeur (emails, SMS, lettres)

📎 Ces pièces renforceront la crédibilité de votre demande, et seront indispensables devant les Prud’hommes.


2. Restez factuel et professionnel dans le ton


  • Pas de menaces, ni d’insultes, ni de formulations agressives

  • Évitez les formulations subjectives du type : "vous abusez", "c’est honteux", etc.

  • Préférez un ton calme, clair, et juridiquement solide

💡 La mise en demeure doit refléter votre sérieux, pas votre colère.


3. Ne dépassez pas les délais de prescription


  • Pour les salaires impayés : délai de 3 ans


  • Pour les documents de fin de contrat : possibilité de demander des dommages dans un délai de 2 ans


  • Pour les actions en harcèlement ou sécurité : délais spécifiques à vérifier selon les cas

⏱️ Plus vous attendez, plus vous perdez en efficacité et en droits potentiels.


4. Faites-vous accompagner si nécessaire


  • En cas d’enjeu financier important ou de conflit complexe : consultez un avocat en droit du travail

  • En cas de harcèlement ou de risque professionnel : contactez également l’inspection du travail

  • Vous pouvez aussi faire appel à un syndicat ou un conseiller juridique en entreprise

👥 Un accompagnement professionnel vous aide à éviter les erreurs, à structurer votre dossier, et à protéger vos droits.

Une mise en demeure bien rédigée peut suffire à débloquer une situation. Mais mal formulée ou mal documentée, elle peut être ignorée… ou se retourner contre vous. Voici les points de vigilance essentiels.


1. Rassemblez toutes les preuves avant d’agir


Avant d’envoyer votre courrier, assurez-vous de disposer de :


  • Votre contrat de travail ou avenants

  • Vos bulletins de paie ou états de paiement

  • Vos notes de frais, justificatifs de déplacements ou mails de validation

  • Vos échanges écrits avec l’employeur (emails, SMS, lettres)

📎 Ces pièces renforceront la crédibilité de votre demande, et seront indispensables devant les Prud’hommes.


2. Restez factuel et professionnel dans le ton


  • Pas de menaces, ni d’insultes, ni de formulations agressives

  • Évitez les formulations subjectives du type : "vous abusez", "c’est honteux", etc.

  • Préférez un ton calme, clair, et juridiquement solide

💡 La mise en demeure doit refléter votre sérieux, pas votre colère.


3. Ne dépassez pas les délais de prescription


  • Pour les salaires impayés : délai de 3 ans


  • Pour les documents de fin de contrat : possibilité de demander des dommages dans un délai de 2 ans


  • Pour les actions en harcèlement ou sécurité : délais spécifiques à vérifier selon les cas

⏱️ Plus vous attendez, plus vous perdez en efficacité et en droits potentiels.


4. Faites-vous accompagner si nécessaire


  • En cas d’enjeu financier important ou de conflit complexe : consultez un avocat en droit du travail

  • En cas de harcèlement ou de risque professionnel : contactez également l’inspection du travail

  • Vous pouvez aussi faire appel à un syndicat ou un conseiller juridique en entreprise

👥 Un accompagnement professionnel vous aide à éviter les erreurs, à structurer votre dossier, et à protéger vos droits.

Auteur

Arthur Benchetrit

Fondateur

Profitez d’un premier appel gratuit afin d'analyser votre situation et définir ensemble les premières étapes adaptées à vos besoins."

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Recouvrement de créances

3 nov. 2025

Mise en demeure de l’employeur : guide pour le salarié

Dans une relation de travail, l’employeur est tenu à des obligations strictes envers le salarié : paiement du salaire, remise des documents de fin de contrat, remboursement des frais professionnels, ou encore garantie de sécurité au travail. Lorsqu’il manque à ces devoirs, le salarié peut l’y contraindre en envoyant une mise en demeure. La mise en demeure à l’employeur est un acte juridique fort. Elle permet de formaliser une réclamation, de fixer un délai précis d’exécution et de préparer une éventuelle action prud’homale. Dans cet article, nous vous expliquons comment l’utiliser efficacement : quels motifs sont légitimes, comment rédiger la lettre, quels délais respecter, et quelles suites donner si l’employeur ne réagit pas.

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Recouvrement de créances

4 sept. 2025

Injonction de payer : comprendre cette procédure pour recouvrer efficacement vos créances

Un client qui tarde à régler sa facture, une relance qui reste lettre morte… et votre trésorerie qui s’en trouve fragilisée. Que faire quand le dialogue ne suffit plus, mais que l’on souhaite éviter une procédure longue et coûteuse ? C’est ici qu’intervient l’injonction de payer, une solution juridique rapide et souvent méconnue. Dans cet article, nous vous expliquons ce qu’est exactement l’injonction de payer, à qui elle s’adresse, comment elle fonctionne, et dans quelles situations elle peut devenir un levier puissant pour sécuriser vos créances sans audience ni confrontation directe. Objectif : vous donner une vision claire et rassurante pour agir efficacement, avec ou sans avocat.

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1 sept. 2025

Injonction de payer : comment contester efficacement et protéger votre entreprise

Recevoir une injonction de payer est toujours stressant. Elle peut vous sembler injustifiée, infondée, voire abusive. Pourtant, si vous ne réagissez pas rapidement, cette ordonnance devient exécutoire et peut entraîner des saisies bancaires, blocages de compte ou autres mesures coercitives. Heureusement, la loi vous offre un recours : faire opposition. Mais cette opposition est soumise à des règles strictes, de délai, de forme et de fond, sous peine d’être jugée irrecevable. Dans cet article, nous vous expliquons comment et dans quels délais contester une injonction de payer, quelles erreurs éviter pour ne pas perdre vos droits et pourquoi un accompagnement juridique peut faire toute la différence.

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