Recouvrement de créances
Mise en demeure ou injonction de payer ? Le bon choix pro
Mise en demeure ou injonction de payer ? Le bon choix pro
Mise en demeure ou injonction de payer ? Le bon choix pro
Un client ne paie pas malgré vos relances ? Vos factures restent en suspens et votre trésorerie commence à en pâtir ? Vous hésitez entre envoyer une mise en demeure ou lancer une injonction de payer pour débloquer la situation rapidement ? Dans cet article, nous vous aidons à comprendre ces deux leviers juridiques, leurs avantages respectifs, leurs conditions d’utilisation et la stratégie à adopter selon votre situation. Que vous soyez dirigeant de PME, directeur financier ou conseiller juridique, vous trouverez ici des conseils concrets, des modèles prêts à l’emploi et des clés pour protéger efficacement vos créances tout en gardant le contrôle sur votre relation client.
Un client ne paie pas malgré vos relances ? Vos factures restent en suspens et votre trésorerie commence à en pâtir ? Vous hésitez entre envoyer une mise en demeure ou lancer une injonction de payer pour débloquer la situation rapidement ? Dans cet article, nous vous aidons à comprendre ces deux leviers juridiques, leurs avantages respectifs, leurs conditions d’utilisation et la stratégie à adopter selon votre situation. Que vous soyez dirigeant de PME, directeur financier ou conseiller juridique, vous trouverez ici des conseils concrets, des modèles prêts à l’emploi et des clés pour protéger efficacement vos créances tout en gardant le contrôle sur votre relation client.


Sommaire de l'article
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15 sept. 2025
Comprendre les bases : deux outils puissants mais différents
Lorsqu’un client ne règle pas sa facture à échéance, plusieurs options s’offrent à vous. Deux des plus courantes et redoutablement efficaces si bien utilisées sont la mise en demeure et l’injonction de payer.
Ces deux dispositifs ont un objectif commun : récupérer les sommes qui vous sont dues. Mais attention, leur nature et leur impact sont bien différents. Et pour bien les utiliser, il faut les comprendre.
La mise en demeure : un signal d’alerte formel
La mise en demeure est une demande officielle faite au débiteur de payer, généralement par courrier recommandé avec accusé de réception. Elle constitue la dernière étape amiable avant d’engager une procédure judiciaire.
Elle permet souvent de débloquer des paiements sans aller jusqu’au tribunal.
Exemple : Un client en retard réagit souvent après réception d’une mise en demeure rédigée par un avocat ou notifiée par un commissaire de justice.
L’injonction de payer : un levier judiciaire accéléré
Contrairement à la mise en demeure, l’injonction de payer est une procédure judiciaire. Elle permet au créancier d’obtenir une ordonnance du tribunal obligeant le débiteur à payer, sans audience préalable.
C’est une procédure particulièrement adaptée quand le débiteur reste silencieux ou conteste injustement la dette.
Dans la suite de l’article, nous verrons quand privilégier l’une ou l’autre, comment les mettre en œuvre efficacement, et comment choisir la bonne stratégie selon vos priorités : rapidité, coût, pression psychologique ou relation client.
Lorsqu’un client ne règle pas sa facture à échéance, plusieurs options s’offrent à vous. Deux des plus courantes et redoutablement efficaces si bien utilisées sont la mise en demeure et l’injonction de payer.
Ces deux dispositifs ont un objectif commun : récupérer les sommes qui vous sont dues. Mais attention, leur nature et leur impact sont bien différents. Et pour bien les utiliser, il faut les comprendre.
La mise en demeure : un signal d’alerte formel
La mise en demeure est une demande officielle faite au débiteur de payer, généralement par courrier recommandé avec accusé de réception. Elle constitue la dernière étape amiable avant d’engager une procédure judiciaire.
Elle permet souvent de débloquer des paiements sans aller jusqu’au tribunal.
Exemple : Un client en retard réagit souvent après réception d’une mise en demeure rédigée par un avocat ou notifiée par un commissaire de justice.
L’injonction de payer : un levier judiciaire accéléré
Contrairement à la mise en demeure, l’injonction de payer est une procédure judiciaire. Elle permet au créancier d’obtenir une ordonnance du tribunal obligeant le débiteur à payer, sans audience préalable.
C’est une procédure particulièrement adaptée quand le débiteur reste silencieux ou conteste injustement la dette.
Dans la suite de l’article, nous verrons quand privilégier l’une ou l’autre, comment les mettre en œuvre efficacement, et comment choisir la bonne stratégie selon vos priorités : rapidité, coût, pression psychologique ou relation client.
Lorsqu’un client ne règle pas sa facture à échéance, plusieurs options s’offrent à vous. Deux des plus courantes et redoutablement efficaces si bien utilisées sont la mise en demeure et l’injonction de payer.
Ces deux dispositifs ont un objectif commun : récupérer les sommes qui vous sont dues. Mais attention, leur nature et leur impact sont bien différents. Et pour bien les utiliser, il faut les comprendre.
La mise en demeure : un signal d’alerte formel
La mise en demeure est une demande officielle faite au débiteur de payer, généralement par courrier recommandé avec accusé de réception. Elle constitue la dernière étape amiable avant d’engager une procédure judiciaire.
Elle permet souvent de débloquer des paiements sans aller jusqu’au tribunal.
Exemple : Un client en retard réagit souvent après réception d’une mise en demeure rédigée par un avocat ou notifiée par un commissaire de justice.
L’injonction de payer : un levier judiciaire accéléré
Contrairement à la mise en demeure, l’injonction de payer est une procédure judiciaire. Elle permet au créancier d’obtenir une ordonnance du tribunal obligeant le débiteur à payer, sans audience préalable.
C’est une procédure particulièrement adaptée quand le débiteur reste silencieux ou conteste injustement la dette.
Dans la suite de l’article, nous verrons quand privilégier l’une ou l’autre, comment les mettre en œuvre efficacement, et comment choisir la bonne stratégie selon vos priorités : rapidité, coût, pression psychologique ou relation client.
Quand envoyer une mise en demeure ?
La mise en demeure est souvent la première étape avant d'engager une action en justice. C’est un outil simple, rapide et peu coûteux pour inciter un débiteur à régulariser sa situation sans passer par le tribunal.
Mais pour qu’elle soit efficace et juridiquement valable encore faut-il savoir quand et comment l’utiliser.
Les conditions d’utilisation
Avant d’envoyer une mise en demeure, assurez-vous que votre créance est :
Certaine : elle repose sur un contrat, une facture ou tout document probant.
Liquide : son montant est clairement déterminé.
Exigible : l’échéance de paiement est dépassée.
Exemple : une facture arrivée à échéance depuis plus de 30 jours peut justifier une mise en demeure, surtout si les relances amiables sont restées sans effet.
Les mentions indispensables
Pour éviter toute contestation, votre mise en demeure doit inclure plusieurs éléments clés :
Identité des parties (créancier et débiteur)
Objet de la demande : le montant réclamé, la nature de la dette
Délai accordé pour régulariser (souvent 8 ou 15 jours)
Menace explicite de recours judiciaire en cas de non-paiement
Date et signature
💡 Conseil pratique : envoyez toujours la mise en demeure par lettre recommandée avec accusé de réception ou faites-la signifier par un commissaire de justice. Cela prouve que le débiteur en a bien eu connaissance.
Les avantages de la mise en demeure
Effet psychologique immédiat : elle montre que vous êtes prêt à aller plus loin.
Coût réduit : aucun frais de justice, et parfois pas besoin d’avocat.
Souplesse : elle laisse encore une chance au dialogue et à la régularisation amiable.
Un dirigeant de PME a récupéré 12 000 € en moins de 10 jours grâce à une mise en demeure bien structurée et signifiée par un professionnel.
La mise en demeure est souvent la première étape avant d'engager une action en justice. C’est un outil simple, rapide et peu coûteux pour inciter un débiteur à régulariser sa situation sans passer par le tribunal.
Mais pour qu’elle soit efficace et juridiquement valable encore faut-il savoir quand et comment l’utiliser.
Les conditions d’utilisation
Avant d’envoyer une mise en demeure, assurez-vous que votre créance est :
Certaine : elle repose sur un contrat, une facture ou tout document probant.
Liquide : son montant est clairement déterminé.
Exigible : l’échéance de paiement est dépassée.
Exemple : une facture arrivée à échéance depuis plus de 30 jours peut justifier une mise en demeure, surtout si les relances amiables sont restées sans effet.
Les mentions indispensables
Pour éviter toute contestation, votre mise en demeure doit inclure plusieurs éléments clés :
Identité des parties (créancier et débiteur)
Objet de la demande : le montant réclamé, la nature de la dette
Délai accordé pour régulariser (souvent 8 ou 15 jours)
Menace explicite de recours judiciaire en cas de non-paiement
Date et signature
💡 Conseil pratique : envoyez toujours la mise en demeure par lettre recommandée avec accusé de réception ou faites-la signifier par un commissaire de justice. Cela prouve que le débiteur en a bien eu connaissance.
Les avantages de la mise en demeure
Effet psychologique immédiat : elle montre que vous êtes prêt à aller plus loin.
Coût réduit : aucun frais de justice, et parfois pas besoin d’avocat.
Souplesse : elle laisse encore une chance au dialogue et à la régularisation amiable.
Un dirigeant de PME a récupéré 12 000 € en moins de 10 jours grâce à une mise en demeure bien structurée et signifiée par un professionnel.
La mise en demeure est souvent la première étape avant d'engager une action en justice. C’est un outil simple, rapide et peu coûteux pour inciter un débiteur à régulariser sa situation sans passer par le tribunal.
Mais pour qu’elle soit efficace et juridiquement valable encore faut-il savoir quand et comment l’utiliser.
Les conditions d’utilisation
Avant d’envoyer une mise en demeure, assurez-vous que votre créance est :
Certaine : elle repose sur un contrat, une facture ou tout document probant.
Liquide : son montant est clairement déterminé.
Exigible : l’échéance de paiement est dépassée.
Exemple : une facture arrivée à échéance depuis plus de 30 jours peut justifier une mise en demeure, surtout si les relances amiables sont restées sans effet.
Les mentions indispensables
Pour éviter toute contestation, votre mise en demeure doit inclure plusieurs éléments clés :
Identité des parties (créancier et débiteur)
Objet de la demande : le montant réclamé, la nature de la dette
Délai accordé pour régulariser (souvent 8 ou 15 jours)
Menace explicite de recours judiciaire en cas de non-paiement
Date et signature
💡 Conseil pratique : envoyez toujours la mise en demeure par lettre recommandée avec accusé de réception ou faites-la signifier par un commissaire de justice. Cela prouve que le débiteur en a bien eu connaissance.
Les avantages de la mise en demeure
Effet psychologique immédiat : elle montre que vous êtes prêt à aller plus loin.
Coût réduit : aucun frais de justice, et parfois pas besoin d’avocat.
Souplesse : elle laisse encore une chance au dialogue et à la régularisation amiable.
Un dirigeant de PME a récupéré 12 000 € en moins de 10 jours grâce à une mise en demeure bien structurée et signifiée par un professionnel.
L’injonction de payer : une procédure judiciaire accélérée
Quand un débiteur ignore une mise en demeure ou refuse de payer malgré les preuves de votre créance, il est temps de passer à l’étape suivante : l’injonction de payer.
Simple, rapide, peu coûteuse et redoutablement efficace, cette procédure permet d’obtenir une décision de justice exécutoire, sans audience ni confrontation immédiate.
À quoi sert-elle et dans quels cas l’utiliser ?
L’injonction de payer est une procédure non contradictoire : le juge statue uniquement sur dossier, sans convoquer le débiteur. Elle est idéale pour :
Les factures impayées
Les loyers commerciaux dus
Les dettes contractuelles (contrats de prestation, de vente…)
Les reconnaissances de dettes
Exemple : une société de services a obtenu une ordonnance de payer en 3 semaines pour une créance de 25 000 € impayée depuis 6 mois.
Procédure pas à pas
Constitution du dossier
Réunissez tous les documents : contrat, facture, preuve de relance, mise en demeure…Dépôt de la requête
Au tribunal compétent (tribunal judiciaire ou tribunal de commerce selon les cas), à l’aide du formulaire Cerfa n°12946*06.Examen par le juge
Si la créance est certaine, liquide et exigible, le juge rend une ordonnance portant injonction de payer.Signification au débiteur
L’ordonnance doit être signifiée par un commissaire de justice dans un délai de 6 mois.Attente de réaction
Le débiteur dispose d’un mois pour faire opposition. Sans réaction, l’ordonnance devient un titre exécutoire.Exécution forcée si nécessaire
Saisie bancaire, saisie-vente, etc., par le commissaire de justice.
Le rôle clé du commissaire de justice
Il est indispensable pour signifier l’ordonnance et, si besoin, mettre en œuvre les mesures d’exécution : saisie des comptes, des biens, voire des loyers du débiteur.
L’efficacité de l’injonction dépend autant de la qualité du dossier que de la rigueur du suivi administratif.
Quand un débiteur ignore une mise en demeure ou refuse de payer malgré les preuves de votre créance, il est temps de passer à l’étape suivante : l’injonction de payer.
Simple, rapide, peu coûteuse et redoutablement efficace, cette procédure permet d’obtenir une décision de justice exécutoire, sans audience ni confrontation immédiate.
À quoi sert-elle et dans quels cas l’utiliser ?
L’injonction de payer est une procédure non contradictoire : le juge statue uniquement sur dossier, sans convoquer le débiteur. Elle est idéale pour :
Les factures impayées
Les loyers commerciaux dus
Les dettes contractuelles (contrats de prestation, de vente…)
Les reconnaissances de dettes
Exemple : une société de services a obtenu une ordonnance de payer en 3 semaines pour une créance de 25 000 € impayée depuis 6 mois.
Procédure pas à pas
Constitution du dossier
Réunissez tous les documents : contrat, facture, preuve de relance, mise en demeure…Dépôt de la requête
Au tribunal compétent (tribunal judiciaire ou tribunal de commerce selon les cas), à l’aide du formulaire Cerfa n°12946*06.Examen par le juge
Si la créance est certaine, liquide et exigible, le juge rend une ordonnance portant injonction de payer.Signification au débiteur
L’ordonnance doit être signifiée par un commissaire de justice dans un délai de 6 mois.Attente de réaction
Le débiteur dispose d’un mois pour faire opposition. Sans réaction, l’ordonnance devient un titre exécutoire.Exécution forcée si nécessaire
Saisie bancaire, saisie-vente, etc., par le commissaire de justice.
Le rôle clé du commissaire de justice
Il est indispensable pour signifier l’ordonnance et, si besoin, mettre en œuvre les mesures d’exécution : saisie des comptes, des biens, voire des loyers du débiteur.
L’efficacité de l’injonction dépend autant de la qualité du dossier que de la rigueur du suivi administratif.
Quand un débiteur ignore une mise en demeure ou refuse de payer malgré les preuves de votre créance, il est temps de passer à l’étape suivante : l’injonction de payer.
Simple, rapide, peu coûteuse et redoutablement efficace, cette procédure permet d’obtenir une décision de justice exécutoire, sans audience ni confrontation immédiate.
À quoi sert-elle et dans quels cas l’utiliser ?
L’injonction de payer est une procédure non contradictoire : le juge statue uniquement sur dossier, sans convoquer le débiteur. Elle est idéale pour :
Les factures impayées
Les loyers commerciaux dus
Les dettes contractuelles (contrats de prestation, de vente…)
Les reconnaissances de dettes
Exemple : une société de services a obtenu une ordonnance de payer en 3 semaines pour une créance de 25 000 € impayée depuis 6 mois.
Procédure pas à pas
Constitution du dossier
Réunissez tous les documents : contrat, facture, preuve de relance, mise en demeure…Dépôt de la requête
Au tribunal compétent (tribunal judiciaire ou tribunal de commerce selon les cas), à l’aide du formulaire Cerfa n°12946*06.Examen par le juge
Si la créance est certaine, liquide et exigible, le juge rend une ordonnance portant injonction de payer.Signification au débiteur
L’ordonnance doit être signifiée par un commissaire de justice dans un délai de 6 mois.Attente de réaction
Le débiteur dispose d’un mois pour faire opposition. Sans réaction, l’ordonnance devient un titre exécutoire.Exécution forcée si nécessaire
Saisie bancaire, saisie-vente, etc., par le commissaire de justice.
Le rôle clé du commissaire de justice
Il est indispensable pour signifier l’ordonnance et, si besoin, mettre en œuvre les mesures d’exécution : saisie des comptes, des biens, voire des loyers du débiteur.
L’efficacité de l’injonction dépend autant de la qualité du dossier que de la rigueur du suivi administratif.
Mise en demeure vs injonction de payer : comment choisir ?
Vous hésitez entre envoyer une mise en demeure ou déposer une injonction de payer ? Le bon choix dépend de votre situation, de vos objectifs et du comportement de votre débiteur.
Voici un tableau comparatif pour y voir clair rapidement :
Critère | Mise en demeure | Injonction de payer |
Nature | Amiable, préalable | Judiciaire, officielle |
Coût | Faible (courrier ou acte) | Modéré (frais de greffe + commissaire de justice) |
Délai de traitement | Immédiat (selon délai que vous fixez) | Plusieurs semaines (procédure + signification) |
Effet sur le débiteur | Pression psychologique | Obligation juridique par ordonnance |
Quand l’utiliser | Début de conflit, relance renforcée | Refus de paiement, créance importante, urgence |
Nécessite un avocat ? | Non, mais conseillé pour efficacité | Non obligatoire mais recommandé pour solidité du dossier |
Peut-on cumuler ? | Oui, souvent préalable à l’injonction | Oui, elle peut suivre la mise en demeure si échec |
Comment prendre la bonne décision ?
Posez-vous les bonnes questions :
Votre créance est-elle ancienne ou récente ?
Si récente, commencez par une mise en demeure.Le débiteur répond-il à vos relances ?
En cas de silence ou mauvaise foi, passez rapidement à l’injonction.La somme en jeu est-elle importante ?
Pour des montants significatifs, l’injonction de payer est plus dissuasive.Souhaitez-vous préserver la relation commerciale ?
La mise en demeure laisse encore la porte ouverte au dialogue.
Exemple concret : un fournisseur B2B a débloqué un paiement de 40 000 € sans audience grâce à une injonction de payer appuyée par un dossier complet et une mise en demeure préalable bien rédigée.
Astuce stratégique
Pensez toujours à documenter chaque étape (relance par mail, courrier, mise en demeure) : cela renforce votre dossier si vous devez saisir le juge.
Vous hésitez entre envoyer une mise en demeure ou déposer une injonction de payer ? Le bon choix dépend de votre situation, de vos objectifs et du comportement de votre débiteur.
Voici un tableau comparatif pour y voir clair rapidement :
Critère | Mise en demeure | Injonction de payer |
Nature | Amiable, préalable | Judiciaire, officielle |
Coût | Faible (courrier ou acte) | Modéré (frais de greffe + commissaire de justice) |
Délai de traitement | Immédiat (selon délai que vous fixez) | Plusieurs semaines (procédure + signification) |
Effet sur le débiteur | Pression psychologique | Obligation juridique par ordonnance |
Quand l’utiliser | Début de conflit, relance renforcée | Refus de paiement, créance importante, urgence |
Nécessite un avocat ? | Non, mais conseillé pour efficacité | Non obligatoire mais recommandé pour solidité du dossier |
Peut-on cumuler ? | Oui, souvent préalable à l’injonction | Oui, elle peut suivre la mise en demeure si échec |
Comment prendre la bonne décision ?
Posez-vous les bonnes questions :
Votre créance est-elle ancienne ou récente ?
Si récente, commencez par une mise en demeure.Le débiteur répond-il à vos relances ?
En cas de silence ou mauvaise foi, passez rapidement à l’injonction.La somme en jeu est-elle importante ?
Pour des montants significatifs, l’injonction de payer est plus dissuasive.Souhaitez-vous préserver la relation commerciale ?
La mise en demeure laisse encore la porte ouverte au dialogue.
Exemple concret : un fournisseur B2B a débloqué un paiement de 40 000 € sans audience grâce à une injonction de payer appuyée par un dossier complet et une mise en demeure préalable bien rédigée.
Astuce stratégique
Pensez toujours à documenter chaque étape (relance par mail, courrier, mise en demeure) : cela renforce votre dossier si vous devez saisir le juge.
Vous hésitez entre envoyer une mise en demeure ou déposer une injonction de payer ? Le bon choix dépend de votre situation, de vos objectifs et du comportement de votre débiteur.
Voici un tableau comparatif pour y voir clair rapidement :
Critère | Mise en demeure | Injonction de payer |
Nature | Amiable, préalable | Judiciaire, officielle |
Coût | Faible (courrier ou acte) | Modéré (frais de greffe + commissaire de justice) |
Délai de traitement | Immédiat (selon délai que vous fixez) | Plusieurs semaines (procédure + signification) |
Effet sur le débiteur | Pression psychologique | Obligation juridique par ordonnance |
Quand l’utiliser | Début de conflit, relance renforcée | Refus de paiement, créance importante, urgence |
Nécessite un avocat ? | Non, mais conseillé pour efficacité | Non obligatoire mais recommandé pour solidité du dossier |
Peut-on cumuler ? | Oui, souvent préalable à l’injonction | Oui, elle peut suivre la mise en demeure si échec |
Comment prendre la bonne décision ?
Posez-vous les bonnes questions :
Votre créance est-elle ancienne ou récente ?
Si récente, commencez par une mise en demeure.Le débiteur répond-il à vos relances ?
En cas de silence ou mauvaise foi, passez rapidement à l’injonction.La somme en jeu est-elle importante ?
Pour des montants significatifs, l’injonction de payer est plus dissuasive.Souhaitez-vous préserver la relation commerciale ?
La mise en demeure laisse encore la porte ouverte au dialogue.
Exemple concret : un fournisseur B2B a débloqué un paiement de 40 000 € sans audience grâce à une injonction de payer appuyée par un dossier complet et une mise en demeure préalable bien rédigée.
Astuce stratégique
Pensez toujours à documenter chaque étape (relance par mail, courrier, mise en demeure) : cela renforce votre dossier si vous devez saisir le juge.
Stratégie d’entreprise : sécuriser vos créances intelligemment
Envoyer une mise en demeure ou déposer une injonction de payer, c’est bien. Préparer, anticiper et structurer votre recouvrement, c’est mieux. Une entreprise performante ne doit pas se contenter de réagir : elle doit sécuriser ses flux dès la signature du contrat.
Anticiper grâce à une organisation rigoureuse
La clé d’un recouvrement réussi ? Une gestion documentaire irréprochable. Chaque créance doit pouvoir être justifiée en cas de litige.
Voici les éléments à centraliser systématiquement :
Contrat ou bon de commande signé
Facture conforme et envoyée à temps
Preuves de livraison ou d’exécution
Échanges écrits avec le client
Historique des relances
Un client bien informé et suivi de près paie plus facilement. Un débiteur confus ou mal relancé, lui, se sentira légitimé à attendre.
Externaliser pour gagner en efficacité
Vous manquez de temps ou d’expertise juridique ? Ne laissez pas les impayés s’accumuler.
Faire appel à un avocat ou un cabinet spécialisé vous permet de :
Gagner du temps sur les procédures
Sécuriser juridiquement chaque étape
Obtenir des résultats plus rapides et durables
Garder une image professionnelle forte
Un DAF de PME industrielle a réduit de 60 % le délai moyen de paiement après avoir confié les dossiers >15 000 € à un cabinet externe.
Pourquoi l’accompagnement juridique change tout
Chez Benchetrit Avocats, nous allons au-delà des procédures standardisées : nous analysons chaque situation pour proposer une stratégie sur-mesure.
Nos clients bénéficient de :
Conseils proactifs dès les premières relances
Modèles de mise en demeure personnalisés
Constitution de dossiers solides pour l’injonction de payer
Suivi précis des procédures et reporting clair
Envoyer une mise en demeure ou déposer une injonction de payer, c’est bien. Préparer, anticiper et structurer votre recouvrement, c’est mieux. Une entreprise performante ne doit pas se contenter de réagir : elle doit sécuriser ses flux dès la signature du contrat.
Anticiper grâce à une organisation rigoureuse
La clé d’un recouvrement réussi ? Une gestion documentaire irréprochable. Chaque créance doit pouvoir être justifiée en cas de litige.
Voici les éléments à centraliser systématiquement :
Contrat ou bon de commande signé
Facture conforme et envoyée à temps
Preuves de livraison ou d’exécution
Échanges écrits avec le client
Historique des relances
Un client bien informé et suivi de près paie plus facilement. Un débiteur confus ou mal relancé, lui, se sentira légitimé à attendre.
Externaliser pour gagner en efficacité
Vous manquez de temps ou d’expertise juridique ? Ne laissez pas les impayés s’accumuler.
Faire appel à un avocat ou un cabinet spécialisé vous permet de :
Gagner du temps sur les procédures
Sécuriser juridiquement chaque étape
Obtenir des résultats plus rapides et durables
Garder une image professionnelle forte
Un DAF de PME industrielle a réduit de 60 % le délai moyen de paiement après avoir confié les dossiers >15 000 € à un cabinet externe.
Pourquoi l’accompagnement juridique change tout
Chez Benchetrit Avocats, nous allons au-delà des procédures standardisées : nous analysons chaque situation pour proposer une stratégie sur-mesure.
Nos clients bénéficient de :
Conseils proactifs dès les premières relances
Modèles de mise en demeure personnalisés
Constitution de dossiers solides pour l’injonction de payer
Suivi précis des procédures et reporting clair
Envoyer une mise en demeure ou déposer une injonction de payer, c’est bien. Préparer, anticiper et structurer votre recouvrement, c’est mieux. Une entreprise performante ne doit pas se contenter de réagir : elle doit sécuriser ses flux dès la signature du contrat.
Anticiper grâce à une organisation rigoureuse
La clé d’un recouvrement réussi ? Une gestion documentaire irréprochable. Chaque créance doit pouvoir être justifiée en cas de litige.
Voici les éléments à centraliser systématiquement :
Contrat ou bon de commande signé
Facture conforme et envoyée à temps
Preuves de livraison ou d’exécution
Échanges écrits avec le client
Historique des relances
Un client bien informé et suivi de près paie plus facilement. Un débiteur confus ou mal relancé, lui, se sentira légitimé à attendre.
Externaliser pour gagner en efficacité
Vous manquez de temps ou d’expertise juridique ? Ne laissez pas les impayés s’accumuler.
Faire appel à un avocat ou un cabinet spécialisé vous permet de :
Gagner du temps sur les procédures
Sécuriser juridiquement chaque étape
Obtenir des résultats plus rapides et durables
Garder une image professionnelle forte
Un DAF de PME industrielle a réduit de 60 % le délai moyen de paiement après avoir confié les dossiers >15 000 € à un cabinet externe.
Pourquoi l’accompagnement juridique change tout
Chez Benchetrit Avocats, nous allons au-delà des procédures standardisées : nous analysons chaque situation pour proposer une stratégie sur-mesure.
Nos clients bénéficient de :
Conseils proactifs dès les premières relances
Modèles de mise en demeure personnalisés
Constitution de dossiers solides pour l’injonction de payer
Suivi précis des procédures et reporting clair
Modèles et outils pour agir dès maintenant
Pour passer de la théorie à la pratique, il vous faut des outils concrets. Un bon modèle peut faire toute la différence, surtout lorsqu’il est adapté à votre situation. Voici ce que vous pouvez utiliser dès aujourd’hui.
Modèle de mise en demeure à personnaliser
À utiliser après vos relances amiables, pour formaliser votre demande de paiement.
Objet : Mise en demeure de payer – Facture n°[XXX] du [date]
Madame, Monsieur,
Sauf erreur ou omission de notre part, la facture n°[XXX] d’un montant de [montant €], émise le [date], et payable au [date d’échéance], demeure impayée à ce jour.
Par la présente, nous vous mettons en demeure de régler cette somme sous un délai de [8 ou 15 jours], à compter de la réception du présent courrier. À défaut, nous nous verrons contraints d'engager une procédure judiciaire, notamment une requête en injonction de payer, sans autre avis.
Dans l’attente de votre règlement, veuillez agréer, Madame, Monsieur, nos salutations distinguées.
[Nom, fonction, signature]
💡 Envoyez ce courrier en recommandé avec accusé de réception ou par commissaire de justice pour sécuriser la preuve.
Checklist pour une injonction de payer efficace
Avant de déposer votre requête, assurez-vous d’avoir :
✅ La facture ou contrat prouvant la dette
✅ Les relances écrites et/ou mise en demeure
✅ Le formulaire Cerfa n°12946*06 dûment rempli
✅ Une lettre explicative claire et structurée
✅ Les coordonnées précises du débiteur
✅ Une copie de votre pièce d’identité (si personne physique) ou Kbis (si entreprise)
Un dossier complet augmente considérablement vos chances d'obtenir une ordonnance rapidement.
Conseils pour maintenir une relation client saine
Même si vous devez agir fermement, gardez une posture professionnelle :
Prévenez votre client que vous passez à l’étape suivante, sans agressivité
Utilisez des formulations neutres et factuelles
Continuez à proposer un dialogue tout en agissant légalement
Un bon recouvrement, c’est une pression ferme mais respectueuse. Chez Benchetrit Avocats, nous aidons nos clients à maintenir cet équilibre.
Pour passer de la théorie à la pratique, il vous faut des outils concrets. Un bon modèle peut faire toute la différence, surtout lorsqu’il est adapté à votre situation. Voici ce que vous pouvez utiliser dès aujourd’hui.
Modèle de mise en demeure à personnaliser
À utiliser après vos relances amiables, pour formaliser votre demande de paiement.
Objet : Mise en demeure de payer – Facture n°[XXX] du [date]
Madame, Monsieur,
Sauf erreur ou omission de notre part, la facture n°[XXX] d’un montant de [montant €], émise le [date], et payable au [date d’échéance], demeure impayée à ce jour.
Par la présente, nous vous mettons en demeure de régler cette somme sous un délai de [8 ou 15 jours], à compter de la réception du présent courrier. À défaut, nous nous verrons contraints d'engager une procédure judiciaire, notamment une requête en injonction de payer, sans autre avis.
Dans l’attente de votre règlement, veuillez agréer, Madame, Monsieur, nos salutations distinguées.
[Nom, fonction, signature]
💡 Envoyez ce courrier en recommandé avec accusé de réception ou par commissaire de justice pour sécuriser la preuve.
Checklist pour une injonction de payer efficace
Avant de déposer votre requête, assurez-vous d’avoir :
✅ La facture ou contrat prouvant la dette
✅ Les relances écrites et/ou mise en demeure
✅ Le formulaire Cerfa n°12946*06 dûment rempli
✅ Une lettre explicative claire et structurée
✅ Les coordonnées précises du débiteur
✅ Une copie de votre pièce d’identité (si personne physique) ou Kbis (si entreprise)
Un dossier complet augmente considérablement vos chances d'obtenir une ordonnance rapidement.
Conseils pour maintenir une relation client saine
Même si vous devez agir fermement, gardez une posture professionnelle :
Prévenez votre client que vous passez à l’étape suivante, sans agressivité
Utilisez des formulations neutres et factuelles
Continuez à proposer un dialogue tout en agissant légalement
Un bon recouvrement, c’est une pression ferme mais respectueuse. Chez Benchetrit Avocats, nous aidons nos clients à maintenir cet équilibre.
Conclusion
Que vous optiez pour une mise en demeure ou une injonction de payer, l’essentiel est d’agir au bon moment, avec les bons outils. Vous l’avez vu, chaque procédure a ses avantages et doit s’inscrire dans une stratégie globale de gestion de vos créances.
Ne laissez pas les impayés fragiliser votre activité : structurez vos relances, sécurisez vos preuves et choisissez la voie adaptée à chaque situation.
Chez Benchetrit Avocats, nous mettons notre expertise au service des dirigeants, DAF et conseillers juridiques pour transformer chaque difficulté en opportunité de sécuriser la trésorerie.
Besoin d’un accompagnement sur-mesure pour une mise en demeure ou une injonction de payer ? Contactez-nous dès aujourd’hui.
Que vous optiez pour une mise en demeure ou une injonction de payer, l’essentiel est d’agir au bon moment, avec les bons outils. Vous l’avez vu, chaque procédure a ses avantages et doit s’inscrire dans une stratégie globale de gestion de vos créances.
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Arthur Benchetrit
Fondateur
Profitez d’un premier appel gratuit afin d'analyser votre situation et définir ensemble les premières étapes adaptées à vos besoins."
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Recouvrement de créances
15 sept. 2025
Mise en demeure ou injonction de payer : quelle stratégie adopter pour récupérer vos créances ?
Un client ne paie pas malgré vos relances ? Vos factures restent en suspens et votre trésorerie commence à en pâtir ? Vous hésitez entre envoyer une mise en demeure ou lancer une injonction de payer pour débloquer la situation rapidement ? Dans cet article, nous vous aidons à comprendre ces deux leviers juridiques, leurs avantages respectifs, leurs conditions d’utilisation et la stratégie à adopter selon votre situation. Que vous soyez dirigeant de PME, directeur financier ou conseiller juridique, vous trouverez ici des conseils concrets, des modèles prêts à l’emploi et des clés pour protéger efficacement vos créances tout en gardant le contrôle sur votre relation client.
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Recouvrement de créances
17 août 2025
Nullité d'une ordonnance d'injonction de payer : comprendre et agir
L’ordonnance d’injonction de payer est une décision rendue par un juge sur la seule base d’un dossier écrit, à la demande d’un créancier. Elle constitue une mesure simplifiée de recouvrement, souvent utilisée pour récupérer des factures, loyers ou dettes contractuelles impayées. Cette procédure repose sur les articles 1405 à 1425 du Code de procédure civile. Elle est : Non contradictoire dans un premier temps : le débiteur n’est pas entendu avant la décision, conditionnée à une créance certaine, liquide et exigible, transformable en titre exécutoire si le débiteur ne forme pas opposition dans le délai légal (30 jours après signification). À noter : L’ordonnance n’a force exécutoire qu’après signification au débiteur et absence de réaction. C’est à ce stade qu’un recours en nullité peut être envisagé, selon les cas.
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17 août 2025
Nullité d'une ordonnance d'injonction de payer : comprendre et agir
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Recouvrement de créances
25 août 2025
Opposition à une injonction de payer : comprendre les causes d'irrecevabilité
Recevoir une ordonnance d’injonction de payer est souvent un choc, surtout lorsqu’on estime cette dette injustifiée. Heureusement, la loi prévoit un recours : l’opposition, qui permet de contester l’ordonnance et d’ouvrir un débat devant le juge. Mais attention : cette opposition est encadrée par des règles strictes. Si vous ne les respectez pas, votre opposition peut être déclarée irrecevable, laissant l’ordonnance devenir exécutoire… sans possibilité de vous défendre. Dans cet article, nous vous expliquons : Les principales causes d’irrecevabilité, les conséquences pour le débiteur, et surtout, comment éviter les erreurs fatales avec l’aide d’un professionnel du droit.
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