Recouvrement de créances
Opposition à une injonction de payer : défendez vos droits
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Opposition à une injonction de payer : défendez vos droits
Vous venez de recevoir une injonction de payer émise par un tribunal, sans avoir été entendu au préalable ? Cette situation, fréquente mais déstabilisante, peut donner l’impression d’une décision unilatérale. Pourtant, en tant que débiteur, vous disposez d’un droit fondamental : celui de faire opposition. Dans cet article, nous vous expliquons quand et comment contester efficacement une injonction de payer, quels délais respecter, quelles erreurs éviter, et pourquoi l’appui d’un avocat peut être décisif pour défendre vos intérêts et rétablir un vrai débat juridique.
Vous venez de recevoir une injonction de payer émise par un tribunal, sans avoir été entendu au préalable ? Cette situation, fréquente mais déstabilisante, peut donner l’impression d’une décision unilatérale. Pourtant, en tant que débiteur, vous disposez d’un droit fondamental : celui de faire opposition. Dans cet article, nous vous expliquons quand et comment contester efficacement une injonction de payer, quels délais respecter, quelles erreurs éviter, et pourquoi l’appui d’un avocat peut être décisif pour défendre vos intérêts et rétablir un vrai débat juridique.


Sommaire de l'article
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7 août 2025
Définition et principe de cette procédure
L’injonction de payer est une procédure judiciaire simplifiée permettant à un créancier d’obtenir une décision de justice sans audience, dès lors qu’il fournit des justificatifs écrits de sa créance. Elle est souvent utilisée pour les factures impayées, loyers commerciaux dus, ou prestations non réglées.
Le juge rend une ordonnance sur dossier uniquement, sans entendre le débiteur. Cette démarche vise à fluidifier le recouvrement de créances non contestées.
Pourquoi elle peut surprendre un débiteur
Beaucoup de débiteurs découvrent l’existence de cette procédure en recevant une ordonnance déjà rendue, souvent par voie de commissaire de justice. Cela peut susciter :
Un sentiment d’injustice,
Une incompréhension du processus,
Une urgence à réagir sans savoir comment.
Exemple concret : Une entreprise reçoit une injonction de payer pour une facture qu’elle estime abusive ou incomplète. Elle dispose alors de 30 jours pour formuler une opposition motivée.
L’opposition permet alors de déclencher une audience contradictoire, où les deux parties pourront faire valoir leurs arguments devant le juge.
L’injonction de payer est une procédure judiciaire simplifiée permettant à un créancier d’obtenir une décision de justice sans audience, dès lors qu’il fournit des justificatifs écrits de sa créance. Elle est souvent utilisée pour les factures impayées, loyers commerciaux dus, ou prestations non réglées.
Le juge rend une ordonnance sur dossier uniquement, sans entendre le débiteur. Cette démarche vise à fluidifier le recouvrement de créances non contestées.
Pourquoi elle peut surprendre un débiteur
Beaucoup de débiteurs découvrent l’existence de cette procédure en recevant une ordonnance déjà rendue, souvent par voie de commissaire de justice. Cela peut susciter :
Un sentiment d’injustice,
Une incompréhension du processus,
Une urgence à réagir sans savoir comment.
Exemple concret : Une entreprise reçoit une injonction de payer pour une facture qu’elle estime abusive ou incomplète. Elle dispose alors de 30 jours pour formuler une opposition motivée.
L’opposition permet alors de déclencher une audience contradictoire, où les deux parties pourront faire valoir leurs arguments devant le juge.
L’injonction de payer est une procédure judiciaire simplifiée permettant à un créancier d’obtenir une décision de justice sans audience, dès lors qu’il fournit des justificatifs écrits de sa créance. Elle est souvent utilisée pour les factures impayées, loyers commerciaux dus, ou prestations non réglées.
Le juge rend une ordonnance sur dossier uniquement, sans entendre le débiteur. Cette démarche vise à fluidifier le recouvrement de créances non contestées.
Pourquoi elle peut surprendre un débiteur
Beaucoup de débiteurs découvrent l’existence de cette procédure en recevant une ordonnance déjà rendue, souvent par voie de commissaire de justice. Cela peut susciter :
Un sentiment d’injustice,
Une incompréhension du processus,
Une urgence à réagir sans savoir comment.
Exemple concret : Une entreprise reçoit une injonction de payer pour une facture qu’elle estime abusive ou incomplète. Elle dispose alors de 30 jours pour formuler une opposition motivée.
L’opposition permet alors de déclencher une audience contradictoire, où les deux parties pourront faire valoir leurs arguments devant le juge.
Dans quels cas faire opposition à une injonction de payer ?
L’opposition n’est pas automatique : elle doit reposer sur des motifs légitimes. Voici les situations les plus fréquentes qui justifient une contestation.
Créance contestée : litige sur la facture ou la prestation
C’est le cas le plus courant. Vous pouvez faire opposition si :
Le montant réclamé est inexpliqué ou erroné.
Le bien ou service livré est non conforme ou incomplet.
Il existe des réserves écrites ou un désaccord antérieur au dépôt de la requête.
Exemple : Une entreprise facture une prestation non réalisée intégralement. Le débiteur conteste et peut demander à être entendu.
Défaut d'information ou notification irrégulière
La loi impose que l’ordonnance soit notifiée par commissaire de justice. Si cela n’a pas été fait correctement :
Vous pouvez invoquer une irrégularité de procédure.
Le point de départ du délai de 30 jours peut être suspendu ou reporté.
Délai expiré ou abus de procédure
Dans certains cas, la demande du créancier peut :
Porter sur une créance prescrite,
Reposer sur une manipulation ou pression commerciale,
Être déposée dans une juridiction incompétente.
Dans ces cas, l’opposition vise à démontrer que la procédure est infondée, inéquitable ou abusive.
L’opposition n’est pas automatique : elle doit reposer sur des motifs légitimes. Voici les situations les plus fréquentes qui justifient une contestation.
Créance contestée : litige sur la facture ou la prestation
C’est le cas le plus courant. Vous pouvez faire opposition si :
Le montant réclamé est inexpliqué ou erroné.
Le bien ou service livré est non conforme ou incomplet.
Il existe des réserves écrites ou un désaccord antérieur au dépôt de la requête.
Exemple : Une entreprise facture une prestation non réalisée intégralement. Le débiteur conteste et peut demander à être entendu.
Défaut d'information ou notification irrégulière
La loi impose que l’ordonnance soit notifiée par commissaire de justice. Si cela n’a pas été fait correctement :
Vous pouvez invoquer une irrégularité de procédure.
Le point de départ du délai de 30 jours peut être suspendu ou reporté.
Délai expiré ou abus de procédure
Dans certains cas, la demande du créancier peut :
Porter sur une créance prescrite,
Reposer sur une manipulation ou pression commerciale,
Être déposée dans une juridiction incompétente.
Dans ces cas, l’opposition vise à démontrer que la procédure est infondée, inéquitable ou abusive.
L’opposition n’est pas automatique : elle doit reposer sur des motifs légitimes. Voici les situations les plus fréquentes qui justifient une contestation.
Créance contestée : litige sur la facture ou la prestation
C’est le cas le plus courant. Vous pouvez faire opposition si :
Le montant réclamé est inexpliqué ou erroné.
Le bien ou service livré est non conforme ou incomplet.
Il existe des réserves écrites ou un désaccord antérieur au dépôt de la requête.
Exemple : Une entreprise facture une prestation non réalisée intégralement. Le débiteur conteste et peut demander à être entendu.
Défaut d'information ou notification irrégulière
La loi impose que l’ordonnance soit notifiée par commissaire de justice. Si cela n’a pas été fait correctement :
Vous pouvez invoquer une irrégularité de procédure.
Le point de départ du délai de 30 jours peut être suspendu ou reporté.
Délai expiré ou abus de procédure
Dans certains cas, la demande du créancier peut :
Porter sur une créance prescrite,
Reposer sur une manipulation ou pression commerciale,
Être déposée dans une juridiction incompétente.
Dans ces cas, l’opposition vise à démontrer que la procédure est infondée, inéquitable ou abusive.
Comment faire opposition à une injonction de payer ?
Faire opposition à une injonction de payer ne s’improvise pas. Il s’agit d’un acte de procédure précis, encadré par des délais courts. Voici comment procéder efficacement.
Délais légaux pour agir (30 jours)
Le délai pour former opposition est de 30 jours à compter de la signification de l’ordonnance par commissaire de justice. Il est impératif :
De noter la date exacte de réception,
D’agir dans le délai imparti, sous peine de forclusion.
Astuce : Si vous êtes absent lors de la signification, le délai court à partir de la date de remise effective (à une personne de confiance ou en boîte aux lettres).
Contenu de l’acte d’opposition
Votre opposition doit contenir :
Vos coordonnées complètes et celles du créancier,
La référence de l’ordonnance contestée,
Une demande explicite d’opposition,
Une brève motivation expliquant les raisons du refus de paiement (litige, exécution partielle, erreur de montant, etc.).
Joignez les pièces justificatives à l’appui de vos affirmations : échanges de mails, devis, factures corrigées, attestations.
Modalités de dépôt et juridiction compétente
L’opposition se fait :
Par lettre recommandée avec AR ou acte remis au greffe du tribunal compétent,
Devant la juridiction ayant rendu l’ordonnance (souvent le tribunal de commerce).
Conseil expert : Une opposition rédigée par un avocat sera plus crédible et augmentera vos chances de succès à l’audience.
Faire opposition à une injonction de payer ne s’improvise pas. Il s’agit d’un acte de procédure précis, encadré par des délais courts. Voici comment procéder efficacement.
Délais légaux pour agir (30 jours)
Le délai pour former opposition est de 30 jours à compter de la signification de l’ordonnance par commissaire de justice. Il est impératif :
De noter la date exacte de réception,
D’agir dans le délai imparti, sous peine de forclusion.
Astuce : Si vous êtes absent lors de la signification, le délai court à partir de la date de remise effective (à une personne de confiance ou en boîte aux lettres).
Contenu de l’acte d’opposition
Votre opposition doit contenir :
Vos coordonnées complètes et celles du créancier,
La référence de l’ordonnance contestée,
Une demande explicite d’opposition,
Une brève motivation expliquant les raisons du refus de paiement (litige, exécution partielle, erreur de montant, etc.).
Joignez les pièces justificatives à l’appui de vos affirmations : échanges de mails, devis, factures corrigées, attestations.
Modalités de dépôt et juridiction compétente
L’opposition se fait :
Par lettre recommandée avec AR ou acte remis au greffe du tribunal compétent,
Devant la juridiction ayant rendu l’ordonnance (souvent le tribunal de commerce).
Conseil expert : Une opposition rédigée par un avocat sera plus crédible et augmentera vos chances de succès à l’audience.
Faire opposition à une injonction de payer ne s’improvise pas. Il s’agit d’un acte de procédure précis, encadré par des délais courts. Voici comment procéder efficacement.
Délais légaux pour agir (30 jours)
Le délai pour former opposition est de 30 jours à compter de la signification de l’ordonnance par commissaire de justice. Il est impératif :
De noter la date exacte de réception,
D’agir dans le délai imparti, sous peine de forclusion.
Astuce : Si vous êtes absent lors de la signification, le délai court à partir de la date de remise effective (à une personne de confiance ou en boîte aux lettres).
Contenu de l’acte d’opposition
Votre opposition doit contenir :
Vos coordonnées complètes et celles du créancier,
La référence de l’ordonnance contestée,
Une demande explicite d’opposition,
Une brève motivation expliquant les raisons du refus de paiement (litige, exécution partielle, erreur de montant, etc.).
Joignez les pièces justificatives à l’appui de vos affirmations : échanges de mails, devis, factures corrigées, attestations.
Modalités de dépôt et juridiction compétente
L’opposition se fait :
Par lettre recommandée avec AR ou acte remis au greffe du tribunal compétent,
Devant la juridiction ayant rendu l’ordonnance (souvent le tribunal de commerce).
Conseil expert : Une opposition rédigée par un avocat sera plus crédible et augmentera vos chances de succès à l’audience.
Conséquences de l’opposition
Une fois l’opposition déposée, la procédure change de nature. Elle devient contradictoire : les deux parties sont invitées à s’expliquer devant le juge. Voici les étapes et enjeux à anticiper.
Convocation à une audience classique
Le tribunal organise une audience de jugement, comme dans toute procédure civile. Les parties sont convoquées et peuvent :
Présenter leurs arguments oraux et écrits,
Produire des pièces complémentaires,
Être représentées ou assistées par un avocat.
Le créancier devra défendre la réalité de la créance, et le débiteur exposer les raisons de son opposition.
Charge de la preuve et rôle du débiteur
Dans cette phase, le débiteur devient partie active au litige :
Il doit prouver que la créance est infondée ou contestable,
Il peut faire appel à un expert ou un témoin si nécessaire,
Il peut contre-attaquer avec une demande reconventionnelle (ex. : demande de dommages-intérêts).
Exemple client : Un dirigeant contestait une facture de maintenance pour un service jamais réalisé. Grâce à une opposition bien structurée, le juge a annulé l’ordonnance initiale.
Décision du juge après débat contradictoire
À l’issue de l’audience, le juge peut :
Confirmer l’ordonnance si la créance est justifiée,
Annuler totalement ou partiellement la décision,
Renvoyer les parties à une nouvelle instruction si le litige nécessite un approfondissement.
La décision est alors susceptible d’appel dans un délai de 1 mois, selon les cas.
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Convocation à une audience classique
Le tribunal organise une audience de jugement, comme dans toute procédure civile. Les parties sont convoquées et peuvent :
Présenter leurs arguments oraux et écrits,
Produire des pièces complémentaires,
Être représentées ou assistées par un avocat.
Le créancier devra défendre la réalité de la créance, et le débiteur exposer les raisons de son opposition.
Charge de la preuve et rôle du débiteur
Dans cette phase, le débiteur devient partie active au litige :
Il doit prouver que la créance est infondée ou contestable,
Il peut faire appel à un expert ou un témoin si nécessaire,
Il peut contre-attaquer avec une demande reconventionnelle (ex. : demande de dommages-intérêts).
Exemple client : Un dirigeant contestait une facture de maintenance pour un service jamais réalisé. Grâce à une opposition bien structurée, le juge a annulé l’ordonnance initiale.
Décision du juge après débat contradictoire
À l’issue de l’audience, le juge peut :
Confirmer l’ordonnance si la créance est justifiée,
Annuler totalement ou partiellement la décision,
Renvoyer les parties à une nouvelle instruction si le litige nécessite un approfondissement.
La décision est alors susceptible d’appel dans un délai de 1 mois, selon les cas.
Une fois l’opposition déposée, la procédure change de nature. Elle devient contradictoire : les deux parties sont invitées à s’expliquer devant le juge. Voici les étapes et enjeux à anticiper.
Convocation à une audience classique
Le tribunal organise une audience de jugement, comme dans toute procédure civile. Les parties sont convoquées et peuvent :
Présenter leurs arguments oraux et écrits,
Produire des pièces complémentaires,
Être représentées ou assistées par un avocat.
Le créancier devra défendre la réalité de la créance, et le débiteur exposer les raisons de son opposition.
Charge de la preuve et rôle du débiteur
Dans cette phase, le débiteur devient partie active au litige :
Il doit prouver que la créance est infondée ou contestable,
Il peut faire appel à un expert ou un témoin si nécessaire,
Il peut contre-attaquer avec une demande reconventionnelle (ex. : demande de dommages-intérêts).
Exemple client : Un dirigeant contestait une facture de maintenance pour un service jamais réalisé. Grâce à une opposition bien structurée, le juge a annulé l’ordonnance initiale.
Décision du juge après débat contradictoire
À l’issue de l’audience, le juge peut :
Confirmer l’ordonnance si la créance est justifiée,
Annuler totalement ou partiellement la décision,
Renvoyer les parties à une nouvelle instruction si le litige nécessite un approfondissement.
La décision est alors susceptible d’appel dans un délai de 1 mois, selon les cas.
Erreurs fréquentes à éviter lors d’une opposition
Mal préparée ou mal formulée, une opposition peut être rejetée, voire nuire à votre position devant le tribunal. Voici les erreurs les plus courantes à éviter.
Oublier les délais de procédure
La forclusion (perte du droit d’agir) est automatique si vous dépassez le délai de 30 jours suivant la signification. Même un motif valable ne sera plus recevable.
Astuce : Anticipez les congés, absences ou désorganisation interne pour déposer votre opposition dans les temps.
Contestation non justifiée ou infondée
Une simple déclaration “je ne dois pas cette somme” ne suffit pas. Il faut étayer votre opposition par :
Des documents,
Des échanges écrits,
Des arguments juridiques clairs.
Sans justification, l’opposition est considérée comme dilatoire et peut entraîner des condamnations à des frais ou dommages-intérêts.
Absence de pièces ou de stratégie juridique
Certains débiteurs déposent une opposition sans :
Produire les bons justificatifs,
Préparer une ligne de défense cohérente,
Anticiper la réaction du créancier.
Exemple : Une entreprise a contesté une injonction pour vice de livraison mais n’a apporté aucune preuve écrite. Résultat : opposition rejetée, frais supplémentaires.
Mal préparée ou mal formulée, une opposition peut être rejetée, voire nuire à votre position devant le tribunal. Voici les erreurs les plus courantes à éviter.
Oublier les délais de procédure
La forclusion (perte du droit d’agir) est automatique si vous dépassez le délai de 30 jours suivant la signification. Même un motif valable ne sera plus recevable.
Astuce : Anticipez les congés, absences ou désorganisation interne pour déposer votre opposition dans les temps.
Contestation non justifiée ou infondée
Une simple déclaration “je ne dois pas cette somme” ne suffit pas. Il faut étayer votre opposition par :
Des documents,
Des échanges écrits,
Des arguments juridiques clairs.
Sans justification, l’opposition est considérée comme dilatoire et peut entraîner des condamnations à des frais ou dommages-intérêts.
Absence de pièces ou de stratégie juridique
Certains débiteurs déposent une opposition sans :
Produire les bons justificatifs,
Préparer une ligne de défense cohérente,
Anticiper la réaction du créancier.
Exemple : Une entreprise a contesté une injonction pour vice de livraison mais n’a apporté aucune preuve écrite. Résultat : opposition rejetée, frais supplémentaires.
Mal préparée ou mal formulée, une opposition peut être rejetée, voire nuire à votre position devant le tribunal. Voici les erreurs les plus courantes à éviter.
Oublier les délais de procédure
La forclusion (perte du droit d’agir) est automatique si vous dépassez le délai de 30 jours suivant la signification. Même un motif valable ne sera plus recevable.
Astuce : Anticipez les congés, absences ou désorganisation interne pour déposer votre opposition dans les temps.
Contestation non justifiée ou infondée
Une simple déclaration “je ne dois pas cette somme” ne suffit pas. Il faut étayer votre opposition par :
Des documents,
Des échanges écrits,
Des arguments juridiques clairs.
Sans justification, l’opposition est considérée comme dilatoire et peut entraîner des condamnations à des frais ou dommages-intérêts.
Absence de pièces ou de stratégie juridique
Certains débiteurs déposent une opposition sans :
Produire les bons justificatifs,
Préparer une ligne de défense cohérente,
Anticiper la réaction du créancier.
Exemple : Une entreprise a contesté une injonction pour vice de livraison mais n’a apporté aucune preuve écrite. Résultat : opposition rejetée, frais supplémentaires.
Pourquoi se faire assister par un avocat dans ce type de contentieux
Faire opposition à une injonction de payer semble simple sur le papier. En réalité, chaque dossier est unique et une mauvaise approche peut coûter cher. Voici pourquoi un avocat spécialisé est un allié précieux dans ce type de procédure.
Anticiper les risques et formuler une défense solide
L’avocat :
Analyse rapidement la validité de la créance et les chances de succès,
Prépare une opposition juridiquement fondée,
Rassemble les éléments de preuve utiles, souvent négligés.
Exemple client : Un commerçant visé par une injonction injustifiée a pu démontrer l’annulation préalable du contrat grâce à une clause bien exploitée par son avocat. L’ordonnance a été annulée.
Adapter sa stratégie en fonction du montant et du litige
Un avocat adapte son approche :
À la valeur du litige (de 1 000 € à plusieurs dizaines de milliers),
Au profil du créancier (PME, grande entreprise, fournisseur historique),
Aux enjeux relationnels (négociation, médiation, conflit ouvert).
Préserver la relation commerciale tout en se protégeant
Dans de nombreux cas, le litige oppose deux partenaires habituels. L’avocat vous aide à :
Formuler une contestation ferme mais non agressive,
Trouver des solutions amiables en amont de l’audience,
Préserver votre réputation tout en défendant vos droits.
Tonalité Benchetrit Avocats : "Chez Benchetrit Avocats, nous pensons que contester ne veut pas dire s’opposer à tout prix. Notre objectif : défendre vos intérêts sans casser des ponts inutilement."
Faire opposition à une injonction de payer semble simple sur le papier. En réalité, chaque dossier est unique et une mauvaise approche peut coûter cher. Voici pourquoi un avocat spécialisé est un allié précieux dans ce type de procédure.
Anticiper les risques et formuler une défense solide
L’avocat :
Analyse rapidement la validité de la créance et les chances de succès,
Prépare une opposition juridiquement fondée,
Rassemble les éléments de preuve utiles, souvent négligés.
Exemple client : Un commerçant visé par une injonction injustifiée a pu démontrer l’annulation préalable du contrat grâce à une clause bien exploitée par son avocat. L’ordonnance a été annulée.
Adapter sa stratégie en fonction du montant et du litige
Un avocat adapte son approche :
À la valeur du litige (de 1 000 € à plusieurs dizaines de milliers),
Au profil du créancier (PME, grande entreprise, fournisseur historique),
Aux enjeux relationnels (négociation, médiation, conflit ouvert).
Préserver la relation commerciale tout en se protégeant
Dans de nombreux cas, le litige oppose deux partenaires habituels. L’avocat vous aide à :
Formuler une contestation ferme mais non agressive,
Trouver des solutions amiables en amont de l’audience,
Préserver votre réputation tout en défendant vos droits.
Tonalité Benchetrit Avocats : "Chez Benchetrit Avocats, nous pensons que contester ne veut pas dire s’opposer à tout prix. Notre objectif : défendre vos intérêts sans casser des ponts inutilement."
Conclusion
Contester une injonction de payer n’est pas un acte anodin : il s’agit de rétablir le dialogue devant un juge, dans un cadre légal strict. Qu’il s’agisse d’un litige réel, d’une erreur de facturation ou d’un abus de procédure, l’opposition est votre droit, à condition de respecter les délais, de motiver votre défense et de vous entourer des bons conseils.
Chez Benchetrit Avocats, nous accompagnons les dirigeants, responsables juridiques et professionnels confrontés à ce type de procédure. Notre approche : allier réactivité, stratégie et clarté pour transformer une injonction contestée en opportunité de résoudre le différend dans les meilleures conditions.
Une injonction vous paraît injustifiée ? Agissez sans attendre : nous vous aidons à structurer une opposition à une injonction de payer crédible, argumentée et efficace.
Contester une injonction de payer n’est pas un acte anodin : il s’agit de rétablir le dialogue devant un juge, dans un cadre légal strict. Qu’il s’agisse d’un litige réel, d’une erreur de facturation ou d’un abus de procédure, l’opposition est votre droit, à condition de respecter les délais, de motiver votre défense et de vous entourer des bons conseils.
Chez Benchetrit Avocats, nous accompagnons les dirigeants, responsables juridiques et professionnels confrontés à ce type de procédure. Notre approche : allier réactivité, stratégie et clarté pour transformer une injonction contestée en opportunité de résoudre le différend dans les meilleures conditions.
Une injonction vous paraît injustifiée ? Agissez sans attendre : nous vous aidons à structurer une opposition à une injonction de payer crédible, argumentée et efficace.
Auteur



Arthur Benchetrit
Fondateur
Profitez d’un premier appel gratuit afin d'analyser votre situation et définir ensemble les premières étapes adaptées à vos besoins."
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